Une silhouette de fumée s'élève de la mèche, danse quelques secondes avant d'être dévorée par la nuit.
Il n'y a pas à triompher du néant. Il n'y a même pas à se guérir de lui. Il y a juste à en soutenir l'épreuve.
Une croissance infinie dans un monde fini est elle possible.
Dans l'agonie du passé l'avenir se lève et se met à courir.
Paranoïa critique.
Impressions crépusculaires.
Il se pourrait que la terre soit l'enfer de quelque autre planète.
Un arbre : une vie, une communauté, des saisons, des enfants, une mort.
Dans le légende avoir un cheval, une épée et l'aura des revenants venus réparer l'injustice.
Le monde d'avant.
Si on habite un monde sans le juger, on est capable de vivre le pire de ce monde sans culpabilité.
Une ombre traverse une poussière. Une force traverse une ombre.
Le grimpeur sait que le sommet est une voie sans issue mais que l'état de grâce nait au bord du précipice.
Pictogrammes aléatoires de métamorphoses végétales pour nos besoins de représentations symboliques.
La beauté séduit la chair pour aller jusqu'à l'âme. ( SW )
Oublie que je t'ai tuée. ( K G )
Mâle suprématie.
Derrière le drapé il y a la nature.
Les souvenirs regardent le miroir du temps qui s'efface.
Au bout d'une très longue marche notre règne est arrivé et nous avons cru la terre infinie.
Nous sommes des morceaux bricolés qui essayons d'apparaître comme une personne. On se présente sous son meilleur jour, on joue un personnage.
La nature n’est ni un terrain de jeux ni un terrain de conquête mais un organisme. Un univers de beauté et de violence.
On vit l'extinction de notre expérience de nature.
Plus il y a de poésie, plus il y a de réalité.
Histoire sans parole.
Le jeu de la création - illusion est le révélateur de notre lieu étranger.
Le temps est la substance dont je suis fait. Le temps est le fleuve qui m'emporte. Je suis le fleuve. ( J LB )
Dans l'ombre de nos écrans - miroirs nous vivons dans l'oubli de nos transformations.
Accueillir une mémoire qui remonte à la surface.
Garder tes yeux dans mes lèvres.
Nous devons être solidaires avec le monde vivant pour pouvoir survivre.
Le bruit et la fureur de nos tristesses et de nos vies brisées.
Leçon de chose ou power plante ?
Le repos et la chute sont le tic-tac, le cran d'arrêt et de reprise dans l'engrenage des montres et du temps. Entre les deux il y a ce que l'horloger appelle le chemin perdu.
La terre tourne autour du soleil à la vitesse de 107.000 km/h ... et la vie est belle ...
Issue de secours
Etes vous sur de vouloir ?